RTE part en fumée !

Trouvé sur le net :
https://grenoble.indymedia.org/2017-08-27-Hautes-Alpes-RTE-part-en-fumee

RTE part en fumée !

Les chantiers des lignes très hautes tension dans la vallée de la Haute
Durance ne se sont pas déroulés sans encombre. RTE dénombre une
cinquantaine d’engins mis hors d’état de de nuire. Il semblerai qu’après
le sucre dans les réservoirs, les câbles sectionnés et les crève pneus
une nouvelle méthode ai fait son apparition :
– Le 9 février dernier, un préfabriqué de RTE près d’Embrun partait en
fumée.
– Dans la nuit de mercredi à jeudi 24 août, c’est une voiture de RTE qui
flambe à Chorges
– Sans compter les nombreuses tentatives relevées sur des machines ou
des bases de pylones…

Malgré l’avancée des travaux, certain.e.s ne se résigne pas et
continuent à mettre des allumettes dans les roues de RTE. Ces feux
réchauffent nos cœurs et nous redonnent du courage. Même si nous n’avons
pas tous les mêmes méthodes, nous affirmons être solidaires et nous nous
battrons à leur côté en cas d’éventuelles poursuites. De toutes façons,
tout a été tenté pour arrêter ce projet : les recours n’ont rien donné,
les manifestations et les blocages ignorés. Alors on ne nous laisse pas
vraiment le choix !

RTE DEGAGE ! RESISTANCE ET SABOTAGE !

Des habitant.e.s de la vallée

Sabotages sur le chantier de la THT

Trouvé sur le Daubé en date du 24 août:

HAUTES-ALPES Voiture incendiée sur le chantier THT : RTE dépose plainte

 

Plusieurs dégradations qui visaient RTE (réseau de transport d’électricité) ont été relevées à La Bâtie-Neuve, cette semaine.

Une voiture de la société en charge du chantier de la THT (ligne à très haute tension) a été incendiée dans la nuit de mercredi à jeudi, dans le hameau des Bernards. Celle-ci était stationnée sur le parking des employés, face à la zone de stockage de RTE.

En début de semaine déjà, une tentative d’effraction sur un des engins qui se trouvait sur le site Piolit, au-dessus de La Bâtie, avait été enregistrée.

À la suite de ces faits, RTE a déposé deux plaintes. Les gendarmes se chargent de mener l’enquête.

La préf’…on s’en occupe!

La militarisation extrême de la frontière italienne dans la vallée de la
Roya (06), et les destructions violentes des camps de réfugiés de Calais
et Stalingrad (à Paris) ont entraîné ces derniers mois l’arrivée de
nombreuses personnes en exil dans les Hautes-Alpes, le plus souvent en
détresse physique ou psychologique.

Suite à la promesse non tenue du ministre de l’intérieur de pouvoir
déposer leur demande d’asile en France (« dédublinage »), des dizaines
d’entre eux ont lancé des grèves de la faim à Embrun et Briançon ces
derniers jours, suivies d’une grande marche pour le droit d’asile
reliant Briançon à Gap. Un rendez-vous avec le préfet est prévu ce
vendredi 30 juin à Briançon, la mobilisation continue pour obtenir la
satisfaction des revendications légitimes des migrants.

Dans le même temps, des dizaines de mineurs étrangers sont traités de
manière déplorable par le conseil général, qui refuse l’hébergement à
certains, en violation de la convention de Genève qui impose la
protection de tous les enfants.

DES PERSONNES SOLIDAIRES ONT DONC DÉCIDÉ D’INSTALLER UN CAMPEMENT DEVANT
LA PREFECTURE POUR OBTENIR IMMÉDIATEMENT :

*

UNE PROTECTION INCONDITIONNELLE DE TOUS LES MINEURS ÉTRANGERS ARRIVÉS
DANS LE 05,
*

ET LA POSSIBILITÉ POUR TOUS LES MIGRANTS MAJEURS DE DÉPOSER LEUR DEMANDE
D’ASILE DANS LE PAYS DE LEUR CHOIX (« DÉDUBLINAGE »).

Venez nous rejoindre ce matin, cet aprem, la nuit prochaine, ou dès que
vous avez un moment, toute présence est importante, toute solidarité est
essentielle !

De la nourriture, du matos de camping, des jeux, de la musique, etc.
sont les bienvenus.

On lâchera rien ! Solidarité sans frontières !

PROGRAMME A VENIR :

MARDI 27 JUIN :

*

9h : Petit Dèj en soutien aux mineurs réfugiés obligés de pointer chaque
jour au conseil général
*

12h : bouffe collective (rapportez à manger et boire!)
*

14h et 19h : Assemblées d’organisation de la suite du mouvement
*

Toute la journée : jeux et activités, discussions, actions…

MERCREDI 28 JUIN : journée internationale des réfugiés, activités au
parc de la Pépinière à Gap de 14h à 17h

VENDREDI 30 JUIN 16H30 : rassemblement devant la sous-préfecture de
Briançon pour soutenir les migrants reçus par le préfet concernant leur
dédublinage

Et paf…la PAF!

L’Etat de droit…toujours celui du plus fort.

Je suis cette personne qui, mardi 23 mai 2017, a été percuté par une voiture de police au col de Montgenèvre.

Revenons sur le déroulé de ce début de soirée.

Vers les 19h je reçois plusieurs coups de téléphone m’indiquant que des réfugiés et une travailleuse sociale ont été embarqué par la Police des Airs et Frontières (PAF). Je suis en train de rentrer chez moi. Je décide de faire demi-tour et de monter aux locaux de la PAF de Montgenèvre pour soutenir les arrêtés comme le demande l’appel du collectif Tous Migrants. Arrivant là-bas, une trentaine de personnes est déjà présente. On discute… environ une demi-heure plus tard, la travailleuse sociale est relâchée. Certains d’entre nous décident de rentrer chez eux, d’autres pensent qu’ils sont venus pour soutenir les réfugiés encore présents dans les bâtiments de la PAF…et choisissent donc de rester. On discute toujours…on se demande quoi faire. Quand soudain une voiture de police part sur les chapeaux de roues, nous passant devant au-delà de la vitesse autorisée sur cette portion de route. A son bord 2 ou 3 réfugiés, direction le poste de police en Italie. Un quart d’heure plus tard, une seconde voiture de police quitte le parking. Spontanément, une dizaine d’entre nous décident de se mettre au milieu de la route et de mettre nos simples corps comme barrière naturelle à l’expulsion. Le chauffard essaye de forcer le passage en faisant vrombir le moteur, et en avançant pare choc contre tibias. L’une d’entre nous tombe devant la voiture. Le reste des flics présents mettent des coups pour nous dégager de la chaussée. La voiture finie par faire marche arrière.. S’ensuit 2 minutes de calme relatif. Nous sommes toujours une dizaine sur la route, en aval du poste frontière. Des flics se mettent à courir. La voiture de police se positionne sur la voie de gauche. Elle active une grande marche arrière( à contre sens) puis repasse en marche avant et se met soudainement à accélérer. Elle fonce, 50 peut être 60 kilomètres heure, Pas de gyrophare. Pas de sirène. Je suis au milieu de la chaussée, je regarde la voiture de police arriver, elle ne décélère pas. Ce n’est pas possible…mais que se passe t-il dans la tête de ce flic La bagnole continue sa course et me percute. J’anticipe par je ne sais quel réflexe le choc et fais un roulé boulé sur le côté droit du capot. Je me retrouve ensuite sur le bitume et la roue arrière du véhicule me passe sur la jambe , au-dessus de la cheville. La voiture continue sa course comme si de rien n’était. Une fois au sol je m’ aperçois que plein de gens hurlent. J’ hurle aussi. Sur ma droite un mec en costard, un cadre la PAF, ou de la préfecture me regarde comme un déchet. Il fait demi tour et retourne sur ses pas pour aller se planquer dans le bâtiment du ministère de l’intérieur. Il est témoin direct de l’action. D’autres flics accourent. C’est le choc. Mais que vient-il de se passer. Une voiture bêlier. Cette pratique de terreur se répandrait-elle aussi dans la police ? C’est glaçant. Nous sommes fous de rage. Certains de la PAF nous disent qu’on a qu’à les laisser faire leur métier.

Le chauffard fou n’a pas été poursuivi par ses pairs. Délit de fuite, violence avec arme et préméditation (la marche arrière pour prendre de l’élan), tentative d’homicide…le code pénal regorge de tout un tas d’appellations susceptibles de s’appliquer à n’importe qui d’entre nous.

Une jeune mineure fond en larme devant la violence de l’action. D’autres hurlent sur la police. Les pompiers sont appelés. Je n’ai pas trop mal, je suis dans un état second. Des gens présents me prennent par les bras et me ramènent sur le bas côté pour attendre les pompiers. La gendarmerie arrive. Un policier de la PAF en panique me lance « fallait pas te jeter sur la voiture »…on suppose que ce sera la version officielle.

Les gendarmes ne prennent aucun témoignage des faits qui viennent de se passer. Ils discutent avec leurs collègues de la PAF. Certains policiers en profitent d’ailleurs pour esquisser des sourires.

Je suis pris en charge par les pompiers avec une atèle au pied droit, pied qui est passé sous le pneu du véhicule. Les gendarmes n’ont toujours pris aucun renseignement auprès des témoins présents. J’arrive à l’hôpital. Alors que je suis là depuis une dizaine de minutes, les gendarmes arrivent. La seule chose qui les intéresse, mon taux d’alcoolémie et une prise de sang. J’ai une trentaine d’année, si j’étais poly toxicomane les raisons de mon passage sur le capot serait justifié. Malheureusement, je suis de celle et ceux qui ne fonctionnent qu’à une drogue non-quantifiable, la solidarité.

Vers 2 heures du matin je sors de l’hôpital en boitant. Rien de cassé, des petites plaies à droite à gauche, des trous dans les manches de mon sweat, et une cheville qui me fait mal.

Pour ce qui est de la suite, je décide de porter plainte. Ce qui vient de se passer n’est pas un cas isolé. C’est le quotidien de tout un tas de gens dans ce pays. Certains perdent des yeux, sont violés, quand d’autres sont tout simplement assassinés. J’ aurais pu faire partie de ceux-ci. Je suis quelqu’un de sportif depuis tout petit, pratiquant des arts martiaux…ça a sûrement dû me sauver. J’ai failli mourir, ou finir paralysé, je m’en sors avec un hématome.

Le chauffeur avait le choix sur la centaine de mètres qui le séparait de moi, me foncer dessus ou s’arrêter. Il a décidé de me faire sauter par-dessus le pare choc.

J’appelle toutes les personnes présentes sur les lieux et qui souhaitent témoigner de ce qu’ils ont pu voir ce soir-là, de me faire parvenir leur témoignage.

Solidarité avec les réfugiés !

contact: non-aux-expulsions05@riseup.net

RTE et l’autocontrôle

C’est ce qu’on appelle dans le langage de l’économie de marché, du greenwashing.

Suite au scandale des RTE leaks révélant au mois décembre plus de 442 infractions sur le chantier « le plus contrôlé de France », l’entreprise publique en cours de privatisation à décidé de s’auto-mandater « juge et partie ». Afin de prévenir les futures infractions sur son chantier de dévastation de la vallée de la Durance, en mandatant la société Ecomed étroitement liée et financée par RTE, comme juge de son travail (on est jamais mieux servi que par soi-même), on assiste par voie de presse (dauphiné19/05/17) à une tentative de lavage de cerveau de la population haute alpine : ouvrez vos fenêtres, regardez le désastre… « c’est un chantier écologique, respectant l’environnement et les populations ». Ce sont deux jeunes écologues, spécialistes de la Nature qui vous le disent. Vérifiant sur les différents chantiers si les ouvriers possédaient leur « kit antipollution », elles auraient passé des centaines de jours et de nuits à observer la faune et la flore pour protéger, dans le strict respect de la loi, les écosystèmes présents sur le tracé des lignes THT. Et si ce n’est pas possible, elles feront de la compensation écologique. On peut saloper un endroit à condition d’en reproduire un autre, ailleurs de manière artificiel. En clair, 200 mètres cubes de béton coulés dans le bois de Testasson équivaudront à une mare à têtards sur le parking de la gare.

Hauts Alpins, vous n’avez rien compris. Contrairement à ce que vous disent les opposants, qui d’ailleurs ne sont qu’une infime minorité au service du leader mondial de la bougie, les tranchées que vous avez devant les yeux surmontées de monstres de fer, ne sont en réalité que des corridors écologiques.

« Réécrivons le présent, transformons la réalité… Ensemble, prenons les vessies pour des lanternes ! » (Circonlocution prononcée lors du démontage du pylône d’exposition à l’Argentière par Joël Girouette)

Des papiers pour tous, ou plus de papier du tout!

Communiqué de presse:

Les collectifs d’aide aux migrants des Hautes-Alpes et de Barcelonnette sont profondément préoccupés par l’expulsion prochaine de Aymen Mustafa et Hussain Maroof, deux jeunes soudanais accueillis au CAO d’Embrun depuis 5 mois et souhaitant demander l’asile en France.

 Ces deux jeunes ont suivi des cours de français quotidiens, se sont présentés à tous les rendez-vous administratifs, se sont intégrés et ont tissé des liens d’amitié dans l’Embrunais. Ils vont être transférés vers la Norvège, pays dans lequel leur identité a été contrôlée pour la première fois dans l’espace où s’applique le règlement « Dublin III » (Union Européenne plus 4 pays associés).

La préfecture leur a remis leur convocation à l’aéroport pour le 23 mai.

La Norvège applique des conditions de demande d’asile très strictes et les renvois dans le dernier pays traversé avant la Norvège (ici la Russie) ou dans le pays d’origine sont fréquents, avec les mises en danger que cela suppose.

Au Soudan les risques de représailles, d’incarcération, de violences graves et d’exécution sont avérés en cas de retour des exilés.

Dans les semaines à venir, d’autres personnes exilées actuellement accueillies dans les Hautes-Alpes courent ce même risque de renvoi vers différents pays dont l’Italie, déjà à saturation à cause des traversées de la Méditerranée.

21 jeunes demandeurs d’asile accueillis au CAO d’Embrun ont entamé une grève de la faim pour protester contre ces décisions et demander la levée de la procédure.

En effet, le règlement Dublin III n’est pas obligatoire : certaines préfectures en France ont décidé de ne pas l’appliquer et de permettre aux demandeurs d’asile de déposer leur demande en France. L’Allemagne vient également de suspendre le renvoi vers la Hongrie des réfugiés passés sur son territoire.

Nous appelons à une grande manifestation citoyenne à Gap,

devant la préfecture, samedi 13 mai de 14h à 17h.

Le respect des droits humains fondamentaux implique le droit pour toutes les personnes contraintes à l’exil d’effectuer leur demande d’asile dans le pays de leur choix. En l’occurrence, ce choix est la France. Nous en sommes fiers ! Soyons-en dignes !

Contact presse : Viviane GUERARD / 06 88 78 55 81 / lecollectifdeguillestre@gmail.com

Haute Durance-Val Susa: Deux vallées, Deux luttes, un même col, une même résistance

Et oui, c’est parti…Les No THT partent en vacances militantes le samedi
6 mai au-delà de la frontière.
Un appel à manifester émane du mouvement No TAV ce jour-là. De l’autre
côté des montagnes, toute une vallée se bat depuis deux décennies contre
le projet destructeur de la ligne TGV Lyon Turin. En somme, toute une
population se bat contre le saccage d’ une vallée alpine…une de plus.
Nous décidons donc de nous joindre à la manifestation No TAV du 6 mai qui dénonce pour la énième fois un projet coûteux, inutile, et dévastateur
pour toute une vallée et ses habitants. Nous apporterons tout notre
soutien et toute notre détermination haute-alpine à la population du Val
Susa, avec laquelle seul le col de Montgenèvre nous sépare.

Rassemblons nous dans un cortège NO THT en Val Susa, car oui…un projet pourri en cache toujours un autre.
Une ligne THT pour une ligne TGV

Départ en covoiturage le samedi 6 mai
Gap 10h15 place de la gare
Embrun 10h45 Rond point des orres
Briançon 11h15 parking de carrouf

La manifestation débutera à 13h à Bussoleno et finira à San Didero.

Saint Véran en danger: Un téléporté de trop

On croyait en avoir fini avec les projets de développement des domaines skiables avec la dérégulation climatique et l’évolution de la demande touristique

Que nenni

A Saint Véran , la commune remet le couvert .Un projet d’UTN  (unité touristique nouvelle) est en cours pour investir un flanc de  montagne encore vierge de tout équipement !

En effet , la commune de Saint Veran a, par délibération du 04 avril 2017 lancé une étude en vue de l’extension du domaine skiable par un téléporté sur le site de Chateaurenard. Cet équipement s’accompagnerait d’un restaurant d’altitude a proximité de l’observatoire d’astronomie fraîchement rénové.

Et bien évidemment ,Il est prévu la création de nombreux lits touristiques.

Ce projet s’inscrit dans une zone reconnue pour sa richesse naturelle..

Il est dangereux pour le territoire pour plusieurs raisons.

Ce modèle de développement est maintenant dépassé au regard des évolutions touristiques et surtout climatiques . l’avenir de notre territoire ne repose t-il pas beaucoup plus sur le maintien de nos stations existantes et la valorisation d’une politique écotouristique .

Ce projet est une menace pour notre environnement et pour notre économie de station fragilisé à chaque fois par de lourds investissements.

Ce projet est un danger imminent pour l’existence même du Parc Naturel Régional du Queyras , car il ne correspond pas aux engagements pris par les communes dans la charte .Rappelons que le label du parc régional a été remis en question il y a peu , faute d’un respect de la charte .

Une fois de plus ,ce projet prend racine sur la base de la défense de quelques intérêts privés au détriment de l’intérêt général,

 

  • Mathieu Antoine
  • 2 ème adjoint au maire de Saint Véran
  • Président du Parc Naturel Régional du Queyras 2014 -2015
Plus d’infos sur le blog Saint Véran en danger

Tallard d’une imbécile (suite)

L’opportunisme est de rigueur ce printemps.

Karine Berger, députée de la 1ère circonscription des Hautes-Alpes est prête à tout récupérer pour conserver sa petite place bien payée comme députée, y compris la lutte contre la THT. Ecoutez à partir de la minute 22’55 (Radio RAM).

Après Manuel Valls qui promettait de supprimer le 49-3 s’il était élu, ou encore François Fillon qui affirmait que Pénélope répondait toute la journée au téléphone depuis 1980… Nous voilà nous aussi avec un drôle de spécimen de la 5ème république.

Vous noterez autour de la minute 23, cette phrase qui rivalise d’ores et déjà avec Jérôme Cahuzac devant l’assemblée nationale quelques années auparavant (à propos de ses comptes en suisse):

« Je fais partie de ceux-ci qui ont joué un bras de fer avec RTE »

« Je met au défi quiconque de trouver une déclaration publique de moi soutenant le projet » de RTE

31/07/16 L’e-media 05: Ce lundi, la députée (PS) Karine Berger « condamne fermement les dégradations et les violences commises par des anti-THT » et « demande leur condamnation exemplaire par la justice. Leur opposition à ce projet doit s’exercer dans le cadre démocratique des recours judiciaires et de l’information de la population mais en aucun cas par des actions de dégradation et de violence. Dans une période où nos forces de l’ordre doivent assurer la protection de tous les Français face au terrorisme, il est inacceptable qu’elles soient accaparées par ce type d’action coup de poing. Elle renouvelle tout son soutien aux gendarmes qui sont intervenus avec professionnalisme et sang-froid et à juste raison. »

Ca s’appelle comment ça alors? Ah, l’Etat de droit (du plus fort)…c’est vrai!